Pavois d’honneur pour Sofiane Takoucht
qui a su remporter un combat
qui n’était pas gagné d’avance,
puisque le troisième juge espagnol
a trouvé le moyen de donner match nul.
« Temple du temps, qu’un seul soupir résume. A ce point pur, je monte et m’accoutume,
tout entouré de mon regard marin. Et comme aux dieux mon offrande suprême,
la scintillation sereine sème,
sur l’altitude, un dédain souverain ».
Extrait du poème le cimetière marin
de Paul Valéry, écrit en 1920
Pavois d’honneur de 1863, 1889 et 1946
Dons de messieurs Falgueirettes, Goulesque et Baldy
au Musée Paul Valéry de Sète

